Le blog de artpopgend

Fils du célèbre graveur Léopold Flameng (1831-1911), François Flameng est l’élève d’Alexandre Cabanel, de Pierre Hédouin et de Jean-Paul Laurens à l’Académie des Beaux-Arts de Paris.

Dessinateur et graveur, peintre d’histoire, de portraits, de scènes de genre et de paysages Flameng expose pour la première fois au Salon de Paris dès 1873, où il obtient une médaille de deuxième classe, puis en 1879, obtenant le Prix du Salon. En 1889, il reçoit Le Grand Prix à l’Exposition Universelle. Il est nommé professeur à l’École des Beaux-Arts en 1905. La même année, il est élu Membre de l’Institut au fauteuil de Bouguereau et entre au Comité des Artistes Français.

En 1882, son ami le peintre américain John Singer Sargent fait son portrait à côté du dessinateur Paul Helleu. Très apprécié du public, il effectue des portraits de personnages importants dont un célèbre portrait de Victor Hugo (collection de la Comédie Française), un portrait de Camille Desmoulins, ainsi qu'un portrait de la Reine Alexandra, (Royal Collection, Londres).

Et voici une huile sur bois avec un thème rare : le transfèrement d'un détenu par voie ferrée. Les forces de l'ordre ont souvent utilisé le rail pour ces missions de présentation de détenus aux magistrats. Peut être plus de nos jours mais dans les années 80/90 (1980/90 bien sur), ce mode de transport était encore fréquemment utilisé.

Louis Henry Dupray ou Henri Dupray

Né le 3 novembre 1841 à Sedan et mort le17 avril 1909 à Paris (15° arrondissement), est un peintre, graveur et illustrateur Français. Il est connu principalement pour ses peintures d’histoire et plus particulièrement de scène militaires.

Initialement destiné à une carrière militaire, Henri-Louis Dupray est contraint, à la suite d'un accident de cheval, de renoncer à cette voie. Son intérêt pour l'art se développe, notamment à travers le dessin technique et il devient rapidement l’élève des peintres Léon Cogniet et Isidore Pils aux Beaux-Atrs de Paris. Dès le début de sa carrière artistique, Dupray se spécialise dans la représentation de sujets militaires, ne se consacrant que très occasionnellement à l'élaboration de portraits. À partir de 1863, il expose régulièrement au Salon et devient, dès 1865, membre de la société des aquafortistes. Le peintre Édouard Manet appartient à son cercle d'amis. Il lui demandera par ailleurs de poser pour une de ses dernières toiles, Un Bar aux Folies Bergères, peinte entre 1881 et 1882.

Et voilà, un moment d'hésitation sur DROUOT et hop, loupé la sculpture sur bois du gendarme contrôlant un individu près du bief.

Bon, avec un peu de chance, c'est un marchand qui s'est porté acquéreur et qu'il voudra me le revendre? si vous l'avez vu ou avez des infos, merci de penser à moi... 😍

DESCRIPTION

OUH!!! çà c'est encore du lourd. Rarissime sur le marché, la tête plus grande que nature. provenant d'un jeu forain du XIXème type chamboule tout ou jeu de massacre.

quel bonheur de pouvoir présenter de telles pièces... merci Fanette

Encore une mission pour les gendarmes, la surveillance de la chasse et la chasse aux bracos...

Eh hop, votre permis s'il vous plait

huile sur toile de qualité mais sans signature dans son cadre à clés.

Il a fait gratter bien des chevelures ce joli gendarme à cheval. en parfait état, c'est la signature qui interpelle. A KOROVINE. Hum!!! y aurait il plusieurs A KOROVINE, sculpteurs? j'en doute mais je prends la signature comme pour acquis et çà me va ainsi, et voici pourquoi :

Konstantin Alekseïevitch Korovine

(en russe): Константин Алексеевич Коровин), dit en français Constantin Korovine ou Constant Korovine, né à Moscou le 17 novembre 1861 (29 novembre dans le calendrier grégorien) et mort à Paris le 11 septembre 1939, est un peintre et décorateur de théâtre russe.

Constantin Korovine naît dans une famille de négociants et entre à quatorze ans à l' école de peinture, de sculpture et d’architesture de Moscou d'abord à la section d'architecture et deux ans plus tard à celle de peinture. Il a notamment comme professeur Alekseï Savrassov. Il complète ensuite ses études à l'école de l' Académie impériale des beaux-arts de Saint-Pétersbourg, mais la quitte au bout de trois mois déçu par les méthodes d'enseignement.

Si au détour d'une brocante, visite chez un broc, passage dans un salon d'antiquités ou même chez un ami, collectionneur ou non, il vous arrivait de voir un passe boule de ce genre, vous pouvez sans problème donner mon adresse de blog😁 reconnaissance éternelle, ce qui n'est pas rien... à très vite donc. et comme d'habitude, récompense bien méritée...

celui-ci m'était réservé par G.M de la tortue électrique mais j'étais en manque de fonds à cette époque et je l'ai orienté utilement vers MELUN.

J'aimais trop ce tableau signé Charles Olivier de PENNE et appartenant au Musée de la Gendarmerie de Melun. Donc, une artiste spécialisée dans ce genre de réalisation m'a gentiment réalisé une copie en trois dimensions et terre cuite. Quel talent...

Voici un jouet ma foi fort peu commun...

En celluloïd, rempli de paille et acheté aux enchères, il était daté vers les années 1850. Mon dieu que les jouets étaient rares à cette époque et pour une certaine élite... Il a dû en voir des conflits, si ce n'est sur le terrain des combats, au moins entre fratrie.  Toutefois, il a traversé les époques sans trop de dommage...